Suite de la Défense de Bruno Guigue : quand la soldatesque israélienne tue des enfants

Publié le par Adriana Evangelizt

Troisième partie de la défense de Bruno Guigue que nous saluons, soutenons, et à qui nous disons "Tu es notre Frère." Et tout ce qu'il a dit au sujet des assassinats d'enfants est la vérité. D'ailleurs le slide que nous avons nous-mêmes réalisés (http://palestine.activblog.com/) avec des photos d'enfants assassinés tend bien à prouver ce fait comme les deux articles posés ci-dessous. Alors oui, Bruno Guigue est notre Frère.  Ce que ne sont pas et ne seront jamais ceux qui se disent juifs mais sont sionistes avant tout avec tout ce que véhicule cette idéologie tant au point de vue racisme dans le religieux que racial dans le comportement. Une idéologie qui prône la haine des autres, le vol et le crime. Nous sommes en train de finaliser la traduction du Talmud dont s'inspirent les sionistes religieux, Sarkozy pourra la lire, lui qui reçoit les rabbins et porte la kippa... en voilà quelques extraits pour sa pomme. Lui qui parle de la civilisation des religions qu'il nous dise où elle se trouve dans ces quelques passages qui ne sont pas les pires, ces derniers étant seulement accessibles aux juifs sachant lire l'hébreu...

Erubin 21b. « Quiconque désobéit aux rabbins mérite la mort et brûlera en enfer dans des excréments bouillants. »

Moed Kattan 17a . « Si un Juif est tenté de faire le mal, il doit aller dans une cité où il n’est pas connu et y faire le mal. »

Baba Mezia 114a-114b. « Seuls les Juifs sont des hommes. »

Sanhedrin 58b. “ Si un Gentil frappe un Juif, il doit être tué. Frapper un Juif est la même chose que frapper Dieu.”

Sanhedrin 57a . “Un Juif n’a pas à payer un Gentil le salaire pour son travail. »

Baba Mezia 24a .2 « Si un Juif trouve un objet perdu par un Gentil, il n’a pas à le retourner. »

Sanhedrin 57a . « Quand un Juif tue un Gentil, il n’y a pas de peine de mort. Ce qu’un Juif vole à un Gentil, il peut le garder. »

Baba Kamma 113a. « Les Juifs peuvent user de subterfuges pour circonvenir un Gentil »

Yebamoth 98a. “Tous les fils des Gentils sont des animaux. »

Abodah Zarah 36b . « Les filles de Gentils sont souillées depuis la naissance. »

Abodah Zarah 22a-22b . « Les Gentils préfèrent le sexe avec les vaches. »

Abodah Zarah 67b . " Les chaudrons des Gentils, n’empirent-ils pas la saveur des nourritures qu’on y fait cuire?»

Sanhedrin 43a . Jesus (les notes precisent “le nazaréen”) a été exécuté parce qu’il pratiquait la sorcellerie.

Gittin 57a . dit que “ Jesus est en train de bouillir dans des excréments bouillonnants »

Rosh Hashanah 17a . « Ceux qui rejettent le Talmud iront en enfer et seront punis pour des générations à venir.”

Shabbath 116a (p. 569). “Les Juifs doivent détruire les livres des chrétiens”…

Gittin 69a . “Pour guérir sa chair, un Juif doit prendre de la poussière qui est à l’ombre d’une toilette extérieure, (Gus, bécosse, back-house) la mêler à du miel et l’avaler. »

Yebamoth 63a. affirme que Adam a eu des relations sexuelles avec tous les animaux du Jardin d’Eden.

Yebamoth 63a. declare que l’agriculture est le plus vil des métiers..

Sanhedrin 55b . « Un Juif peut marier une fillette de trois ans et un jour. »

Sanhedrin 54b . « Un Juif peut avoir du sexe avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. »

Lire ce que les juifs orthodoxes pensent de Jésus :

http://www.noahide.com/yeshu.htm

Lire aussi "Les gentils ne sont pas humains"

http://talmudsatanique.unblog.fr/2007/11/30/les-rabbins-pas-de-difference-entre-noirs-et-singes/

En précisant que chaque fois que vous lisez "Peuples du monde", cela signifie "étranger", akoum, etc...


 

3- Des soldats israéliens tuent un jeune garçon "pour s’amuser"

http://www.ism-france.org/news/article.php ?id=1982 Israel - 08-12-2004

Par Khaled Amayreh Khalid Amayreh est un journaliste basé en Cisjordanie occupée. L’article a été d’abord publié sur aljazeera.net et repris sur Electronic Intifada avec leur permission. Un groupe de soldats israéliens servant dans la bande de Gaza aurait admis avoir tué un Palestinien de 15 ans à Khan Yunis pour le sport. Selon le journal israélien le Yediot Ahronoth, l’incident a eu lieu en mars où un groupe de soldats nouvellement gradés effectuaient une ronde près de la ville de Khan Yunis.

Selon le rapport, un nombre non révélé de soldats de la Brigade Givati a tiré et tué Khalid Sulaiman Mahdi qui travaillait avec son père dans leur ferme. Le père du garçon, Sulaiman Mahdi, a dit au journal que le meurtre était "juste pour s’amuser".

"7 balles ont transpercé la tête de mon fils, on ne peut donc pas parler d’une erreur ou d’un tir au hasard. Il s’agissait de tirs direct et clairs, " a t’il dit. "Le secteur est dégagé et ne contient rien spécial. La seule chose inhabituelle était qu’ils tirent sur nous et tuent mon fils."

Aucune menace

Le père, Khalid et deux autres fils travaillaient sur le terrain agricole de la famille lors que les tirs ont eu lieu. Selon les soldats interviewés par le Yediot Ahronoth, il n’y avait pas de buts opérationnels aux tirs et pas de justification, puisque le garçon et sa famille ne représentait aucune menace pour les soldats.

Un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré que l’armée avait enquêté sur l’incident, mais a admis qu’aucune arrestation n’avait été effectuée. Le porte-parole a refusé de dire pourquoi les soldats impliqués n’avaient pas été arrêtés ou poursuivis en justice. Sulaiman Mahdi qui mène une vie de simple fermier a affirmé qu’il ne prévoyait pas de poursuivre en justice l’armée israélienne pour le meurtre de son fils.

" J’espère seulement que l’armée israélienne fera attention qu’une telle chose ne se produise plus. Il y a beaucoup d’enfants ici qui travaillent avec leurs parents et j’espère que Khalid est la dernière victime ".

Des événements fréquents

Selon des groupes des droits de l’homme opérant en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, l’armée de l’occupation israélienne a tué des centaines de mineurs palestiniens, souvent sans justification, au cours de leurs incursions dans les centres de populations palestiniennes. Le meurtre d’innocents palestiniens par l’armée israélienne au cours de ces quatre dernières années est arrivé à un niveau inquétant, indiquent des des groupes des droits de l’homme.

" Je n’ai pas le moindre doute qu’il s’agit d’un phénomène rampant ", affirme Basim Eid, un ancien observateur du groupe israélien des Droits de l’homme, BT’selem et directeur du Palestinian Human Rights Monitoring Group, basé à Jérusalem-Est.

Des procès spectacles

Dans une interview avec Al Jazzera.net, Eid a accusé l’armée israélienne "d’inspirer aux soldats israéliens de commettre ces meurtres abominables".

" Le plus haut gradé de l’armée a indiqué que les soldats qui commettent des meurtres seront immunisés de poursuites judiciaires sérieuses, et même s’ils seront poursuivis en justice, cela ne sera pas important.".

"Ils font seulement un show et, en général, seulement après que la presse et des groupes des Droits de l’Homme aient exposé un crime gratuit." Le mois dernier, BTselem a accusé l’armée israélienne de couvrir les crimes contre des palestiniens innocents ". L’armée a rejeté ces accusations.

Source : http://electronicintifada.net Traduction : MG pour ISM-France


4- Traduction de l’article du "Guardian"
Un officier Israélien : « j’ai eu raison d’abattre une enfant de 13 ans” Chris Mc Greal

The Guardian, 24 novembre 2004 http://www.guardian.co.uk/international/story/0,,1358132,00.html

[Courant décembre, les généraux israéliens Moshe Ya’alon et Ruth Yaron n’ont pas hésité à parler d’émission « fallacieuse » et de « manipulation » à propos de la diffusion de la bande audio de l’armée, et Ya’alon a carrément menacé de faire virer la réalisatrice de l’émission télé. Personne n’a demandé qu’il soit poursuivi pour complicité d’assassinat, pas même qu’il démissionne]

Un officier israélien qui a tiré plusieurs fois sur une Palestinienne de 13 ans à Gaza, a volontairement repoussé l’alerte d’un autre soldat lui disant que c’était une enfant, et a dit qu’il l’aurait tué même si elle avait eu trois ans. L’officier, identifié par l’armée comme Capitaine R, a été inculpé cette semaine d’usage illégal de son arme, de conduite inconvenante pour un officier et d’autres infractions relativement mineures, après avoir vidé les 10 balles du magasin de son arme sur Imam al-Hams alors qu’elle marchait dans une « zone de sécurité » en bordure du camp de réfugiés de Rafah le mois dernier. Un enregistrement des échanges radio entre les soldats impliqués dans l’incident (sic), montré à la télé israélienne, contredit la relation des événements par l’armée, et semble montrer que le capitaine a tiré sur la fille de sang-froid. La version officielle a dit qu’Iman fut tuée alors qu’elle marchait vers un poste militaire avec son cartable et que les soldats eurent peur qu’elle ne porte une bombe. Mais l’enregistrement de la conversation radio sur les lieux révèle que dès le début elle était identifiée comme une enfant, et qu’à aucun moment il n’a été question de bombe, ni qu’elle ait été considérée comme une menace. Iman était aussi à plus de 100 mètres d’un quelconque soldat.

Par contre, la bande montre que les soldats l’identifièrent vite comme « une fille, la dizaine », « complètement paniquée ». La bande révèle aussi que les soldats dirent qu’Iman allait vers l’est, s’éloignant du poste militaire vers le camp de réfugiés, quand elle fut tuée. A ce moment là, le capitaine R. décida de quitter le poste et de poursuivre la fille. Il la tua puis « confirma la tuerie » en vidant le chargeur dans son corps. L’enregistrement est une conversation à trois entre le mirador, le poste de l’armée et le capitaine, un commandant de compagnie. Le soldat du mirador dit à ses collègues après avoir vu Iman : « C’est une petite fille. Elle court sans défense vers l’est ». Salle des opérations : « S’agit-il d’une fille de moins de 10 ans ? » Mirador : “Une fille de près de 10 ans, elle est derrière le remblai, paniquée à mort”. Quelques minutes plus tard, Iman est blessée à la jambe depuis un des postes militaires.

Mirador : « Je crois qu’une des positions l’a atteinte ». Le commandant de la compagnie vient alors qu’Iman est blessée et sans défense. Capitaine R : « Je vais avec un autre soldat… en avant, un peu plus près, pour confirmer la mort… Voici un rapport de situation. Nous avons tiré et nous l’avons tuée… Je confirme la mort ; over”. Les témoins ont décrit comment le capitaine R a tiré deux fois sur Iman à la tête, est parti, puis est revenu tirer une rafale de balles dans son corps. Les docteurs de l’hôpital de Rafah ont dit qu’elle avait été touchée au moins 17 fois. Sur la bande, le commandant « clarifie » ensuite pourquoi il a tué Iman : « C’est le commandant. Tout ce qui bouge, qui se déplace dans cette zone, même si c’est un enfant de trois ans, doit être tué. Over ».

Le rapport original de l’armée a dit que l’armée n’a identifié Iman comme une enfant qu’après qu’elle ait été abattue. Mais la bande montre qu’ils avaient réalisé l’enfance de la fragile petite fille avant le moindre tir. Le cas a été mis en lumière après que des soldats sous le commandement du capitaine R soient allés à un journal israélien accuser l’armée de camoufler les circonstances de la tuerie. Une enquête ultérieure par l’officier en charge de la bande de Gaza, le Général de division Dan Harel, a conclu que la capitaine « n’avait pas agit de façon non éthique ». Mais la police militaire a lancé une enquête qui a conduit à des charges contre le commandant. Les parents d’Iman ont accusé l’armée de blanchir l’affaire en retenant des motifs mineurs. Ils veulent que le capitaine R soit poursuivi pour meurtre. (Traduction de l’anglais : JPB)

Sources CCIPPP

http://www.protection-palestine.org/spip.php?article6017

Posté par Adriana Evangelizt

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