Devant la Knesset, Bush doit dénoncer les extrémistes

Publié le par Adriana Evangelizt

Bush, le suppôt de Satan est en Israël, en visite à la synagogue de Satan, celle qui trahit l'Enseignement d'Abraham et de Moïse et qui trahit tous les judéens qui connaissent l'Imposture et ne peuvent y adhérer quitte à en crever. Les choses sont claires. Elles sont d'autant plus claires que nous nous réclamons de Yeshoua, l'Essenien, en butte contre la secte pharisianique. Le sionisme tant politique que religieux n'est que la continuation du pharisianisme. C'est une chose qu'il faut savoir. Le pharisianisme prône le communautarisme exacerbé, le sectarisme, le repli sur soi et l'éloignement, voire la haine des peuples du monde. L'Essenisme prône l'Universalisme et la Fraternité. Le pharisianisme correspond à l'Ombre et l'Essenisme à la Lumière. Il faut regarder les petits extraits de Charles Rittmeyer dont nous avons posé quelques videos  pour comprendre. Comprendre que tout ce qui se passe dans le monde actuellement n'est que la suite logique d'une Connaissance kidnappée -celui de la Vérité- et du Mensonge permanent. Ce monde appartient à Mamon -le dieu Fric- et à la Violence. L'un ne peut pas aller sans l'autre dans tous les cas. Voilà ce qui mène la danse aujourd'hui. Tous les peuples luttant pour leurs droits, leur Liberté sont condamnés à être éradiqués. C'est ce que va prêcher Bush. Il va crucifier le Hamas, le Hezbollah et l'Iran parce qu'ils empêchent ces Succubes d'installer leur hégémonie sur le grand Moyen-Orient et y piller tout le pétrole qui s'y trouve. Bush, le satanique que nous haïssons au plus haut point, qui n'a pas honte de dire "En tant que témoins du mal par le passé.../Les juifs et les Américains ont vu ce qu'il en coûtait d'ignorer les paroles de dirigeants qui épousent la haine et c'est une erreur que le monde ne doit pas répéter au 21e siècle" alors que son grand-père collaborait   joyeusement avec le régime nazi, tout comme les grands pontes du sionisme ont pactisé avec le nazisme  -dès 1933- afin que les juifs possédant des biens puissent aller s'établir en Palestine. Les autres, ceux du ghetto de Varsovie, par exemple, n'avaient qu'à crever. On connait les phrases célèbres de certains leaders sionistes envers les juifs polonais. On sait aussi que l'idéologie sionisme est très proche de l'idéologie nazie. Comme l'explique si bien Pierre Stambul :Ce projet idéologique a eu dès le début l’idée de bâtir un « homme nouveau », juif bien sûr. D’autres idéologies, souvent totalitaires, ont eu la même prétention « d’ordre nouveau » (fascisme, stalinisme). Pour construire l’état d’Israël, on a ressuscité la langue religieuse (l’Hébreu) en faisant disparaître les langues de la diaspora (ladino, judéo-arabe, yiddish). On a sacralisé une terre où les Juifs ne vivaient plus depuis 2000 ans. On a fabriqué une nouvelle « identité », mélange de fierté nationaliste, de militarisme et d’esprit pionnier, très éloignée de l’universalisme Juif issu de la sortie du ghetto et des « Lumières ». Les sionistes ont considéré dès le départ l’antisémitisme comme inéluctable et ont affirmé que les Juifs ne pouvaient vivre qu’entre eux, le « mélange » étant impossible. Ils ont privilégié la construction de leur état, au détriment de toute autre considération, y compris en essayant d’empêcher les Juifs d’émigrer ailleurs. Ils ont décrété la « centralité » d’Israël, centralité qui n’a jamais existé depuis la destruction du deuxième temple par les légions romaines. Ils ont réécrit l’histoire juive, faisant de 2000 ans « d’exil » une gigantesque parenthèse. Ils ont déprécié les valeurs de la diaspora en réduisant cette histoire à une longue suite de persécutions. Ils sont les principaux responsables du départ de plus d’un million de Juifs du monde Arabe qui n’avaient pourtant jamais connu de réelle persécution. Les racines et la culture de ces Juifs Arabes ont été depuis occultées. Ils ont surfé sur une interprétation de la religion où l’état d’Israël serait quelque part le Messie tant attendu et où le « peuple élu » aurait tous les droits sur « la terre que Dieu lui a donnée » face aux « étrangers », les Palestiniens n’ayant aucun droit."

Quand on lit ces lignes, que doit-on penser de cette idéologie ? Elle n'est pas nouvelle, il faut le savoir. Elle tire son origine d'une caste puissante venue d'Egypte qui a pris en main le destin des descendants d'Abraham voilà plus de 3500 ans. Relisez attentivement le passage de l'Exode et vous verrez ce que les ancêtres étaient obligés de donner alors qu'ils crevaient de faim et de soif dans le désert. Ils étaient obligés de donner tout ce qu'ils possédaient. Bien que l'histoire ne se soit pas vraiment passée dans le désert. De quoi vit le Sionisme aujourd'hui ? D'où ses puissantes organisations sortent-elles l'argent qui sert à la colonisation et à continuer de fausser l'histoire judaïque ? Ces corrompus vivent sur le dos des juifs dont l'Holocauste leur rapporte des milliards et sur le dos du monde. Et s'ils prennent plaisir à culpabiliser le monde, ce n'est que pour cette raison, ramasser du fric. Quant à leurs associations caritatives dont on ne compte plus le nombre, elles sont encore une source de profit grâce aux subventions.

Qui peut arrêter cette dérive ? Quand on voit Bush en train de leur lécher les bottes ainsi que tous les chefs d'Etats de presque tous les pays du monde ? Les Peuples sont bien seuls et bien mal défendus. C'est la Bête qui règne. Mais la Bête n'en a plus pour longtemps. Elle le sait. Une catastrophe planétaire se prépare qui mettra les choses en ordre. Les premiers seront les derniers et les derniers les premiers. Personne ne sait cela mais eux le savent. C'est pour cette raison qu'ils se dépêchent à commettre toujours davantage de crimes. Ils savent que leur temps est compté. Ils ne seront pas plus forts que notre Dieu, la Terre. Il faut se préparer à ce jour qui est proche...




Devant la Knesset, Bush doit dénoncer les extrémistes



Le président américain George W. Bush doit dénoncer jeudi, dans son premier discours devant le parlement israélien, les menées du Hamas, du Hezbollah et de l'Iran au moment où ceux-ci font barrage à ses projets pour le Proche-Orient.



Le président américain George W. Bush doit dénoncer jeudi, dans son premier discours devant le parlement israélien, les menées du Hamas, du Hezbollah et de l'Iran au moment où ceux-ci font barrage à ses projets pour le Proche-Orient.

 

M. Bush doit invoquer les leçons du nazisme pour assurer aux Israéliens et aux juifs que le soutien des Etats-Unis est "inaltérable" et qu'avec les Américains ils sont plus de "307 millions" face au Hamas, au Hezbollah et à l'Iran.

Il doit par ailleurs accuser son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad de vouloir ramener le Proche-Orient au Moyen Âge, affirmant que permettre à l'Iran d'avoir l'arme nucléaire serait "trahir de manière impardonnable" les futures générations, selon la copie publiée par la Maison Blanche du discours que le président américain doit prononcer dans l'après-midi à la Knesset.

"L'alliance entre nos gouvernements est inaltérable", doit dire M. Bush.

Il doit également dénoncer la vision du monde du mouvement islamiste palestinien Hamas, du Hezbollah libanais et d'Al-Qaïda ainsi que celle du président ultraconservateur iranien, qui "appelle à rayer Israël de la carte".

"En tant que témoins du mal par le passé, nous avons la responsabilité solennelle de prendre ces paroles au sérieux. Les juifs et les Américains ont vu ce qu'il en coûtait d'ignorer les paroles de dirigeants qui épousent la haine et c'est une erreur que le monde ne doit pas répéter au 21e siècle", doit-il dire.

Mais son intervention à la Knesset pour le 60e anniversaire de l'Etat d'Israël s'annonce accompagnée de protestations qui risquent d'alourdir encore l'ambiance autour de son séjour, le deuxième en Israël en quatre mois.

Avant de prendre la parole pour le moment fort d'un voyage de cinq jours dans la région, M. Bush s'est rendu par hélicoptère sur le site historique de Massada, à l'est d'Israël, où, au cours du premier siècle, des juifs révoltés préférèrent se suicider que de se livrer aux Romains et qui est devenu un archétype de la résistance juive.

Le symbole et l'altitude d'environ 400 m au-dessus de la Mer Morte ne devaient guère éloigner M. Bush des réalités qui ont obscurci son déplacement avant même qu'il ne commence.

Quand il s'adressera aux membres de la Knesset lors d'une séance spéciale, les Palestiniens commémoreront, eux, le 60e anniversaire de la "Nakba", la "catastrophe" que fut pour eux la création d'Israël en 1948 sur trois quarts de la Palestine historique.

Les Palestiniens annoncent une marche massive dans le centre de Ramallah, en Cisjordanie, dans cette partie des Territoires sur laquelle l'un des principaux acteurs des négociations de paix, Mahmoud Abbas, a pourtant encore le contrôle.

Le Hamas, organisation radicale qui refuse de reconnaître Israël, a annoncé une manifestation de colère devant Erez, le principal point de passage entre le territoire, qu'il a mis sous sa coupe en juin 2007, et Israël.

Le mouvement islamique arabe en Israël a prévu de protester devant la Knesset pendant le discours de M. Bush. Neuf députés arabes israéliens avaient l'intention de boycotter la séance.

Ces manifestations ne font que confirmer les sombres présages qui ont précédé la venue de M. Bush, avec des négociations qui piétinent pour un accord de paix, un Premier ministre israélien Ehud Olmert en butte au soupçon de corruption et d'alarmantes tensions chez le voisin libanais.

Mercredi, au moment où M. Bush parlait "d'espoir" et "d'optimisme", une roquette tirée de la Bande de Gaza s'abattait à Ashkelon, dans le sud d'Israël, et faisait 14 blessés.

L'attaque a été revendiquée par le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et les Comités de résistance populaire. Elle a été saluée par la branche militaire du Hamas. Elle a suscité une vigoureuse mise en garde de M. Olmert.

La participation de M. Bush au 60e anniversaire d'Israël conforte chez beaucoup d'Arabes et de Palestiniens la conviction d'un parti pris presque aveugle pour l'allié israélien.

M. Bush se défend en affirmant avoir été le premier président américain à appeler à la création d'un Etat palestinien.

La Maison Blanche dit que, si M. Bush célèbre le 60e anniversaire d'Israël, il n'oublie pas pour autant les souffrances des Palestiniens.

Elle a laissé entrevoir la possibilité que M. Bush les évoque dans son discours à la Knesset.

Mais M. Bush affirme que le meilleur moyen de résorber ces souffrances, c'est en créant un Etat palestinien, et que pour cela les Palestiniens doivent se détourner du Hamas et des fauteurs de violence.

Dans son discours jeudi, il devait inscrire la création d'un tel Etat dans son combat plus large et très controversé pour la propagation de la démocratie au Proche-Orient, a dit un de ses porte-parole Gordon Johndroe.

Il devait ainsi non seulement réaffirmer qu'Israël est "l'ami et l'allié le plus proche des Etats-Unis", mais aussi que les Etats-Unis "continueront à travailler en partenariat avec d'autres pays dans le monde pour contrer les extrémistes, y compris le Hamas, le Hezbollah, Al-Qaïda, et pour répondre aux ambitions nucléaires militaires de l'Iran", a dit M. Johndroe.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans CONNEXION ISRAEL USA

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