1,6 millions de personnes sont pauvres en Israël

Publié le par Adriana Evangelizt

1,6 millions de pauvres en Israël sur une population de 6 millions. Ce qui ferait en France un peu plus de 16 millions. Voyez un peu. Oui, voyez un peu comme les faiseurs de guerre et sionistes de tous poils pensent au bonheur du Peuple. Si le Peuple percevait déjà l'argent versé par l'Etat Américain, chaque personne percevrait plus de 10 000 dollars par an. Et on ne parlera pas de tout l'argent versé par les divers lobbies et donateur. Et à quoi sert l'argent donné ? Y compris par les pro-israéliens vivant en France. Il sert à construire des colonies, des checks points, il sert à renouveler les bombes généreusement versé sur les Palestiniens. Bref l'argent sert à faire la guerre indéfiniment, à payer une armée éternelle, et pendant ce temps, le Peuple, lui, crève la dalle. On suppose que Netanyahou, Olmert et toute la clique de corrompus ont la panse bien pleine, qu'ils ne dorment pas sous les ponts et qu'ils ne font pas bien sûr la queue à la soupe populaire. Ces individus là sont dans l'abjection pure et simple. Voilà ce que nous en pensons.

1,6 millions de personnes sont pauvres en Israël


par Yael Ancri


La guerre au Liban a amené avec elle son lot de difficultés économiques. Les divers ministères du gouvernement devront effectuer des restrictions budgétaires s'élevant en tout à 2 milliards de shekels. L'arrière front a subi de lourds dommages et Tsahal a besoin de nouveaux équipements. C'est justement dans ces conditions que le Bitouah Léoumi a publié son rapport bi-annuel sur la pauvreté. Ce dernier vient mettre l'accent sur les problèmes sociaux auxquels la société israélienne est confrontée même en temps de paix.

En 2005, l'année étudiée par l'actuel rapport, 1.631.000 Israéliens, dont 769.000 enfants, appartenaient aux couches défavorisées. 411 000 familles vivaient en 2005 en dessous du seuil de pauvreté, ce qui représente 26,2 % de l'ensemble des familles israéliennes. Il s'agit d'une augmentation par rapport aux années précédentes : en 2004, 24,5 % des familles vivaient dans ces conditions et 21,8 % en 2002. Parmi les familles ayant au moins quatre enfants ces chiffres sont plus élevés : 58,1 % en 2005, contre 54,7 % en 2004.

Toute personne ayant des revenus inférieurs à la moitié du salaire moyen, est considérée comme vivant en dessous du seuil de pauvreté, soit pour une personne seule, un salaire ou des allocations inférieurs à 1.866 shekels et à 2.866 shekels pour un couple.

En outre, le secteur des Arabes israéliens, ainsi que le nord et le sud du pays sont les plus touchés, et ce déjà avant la guerre du Liban. Cette différence devrait être encore plus ressentie lors du prochain rapport.

De plus, 177.000 familles, dont au moins un des membres travaille, vivent en dessous du seuil de pauvreté, bien que la situation du marché du travail se soit améliorée en 2005.

Les responsables du Bitouah Léoumi indiquent que la pauvreté au sein des familles israéliennes est relativement stable. Pourtant on ne peut pas ne pas remarquer que de plus en plus d'enfants (35,2 % des enfants israéliens) vivent en dessous du seuil de pauvreté. En revanche, il y a un peu moins de personnes âgées indigentes, on est en effet passé de 25,1 à 24,1 %. En outre, les différences entre les revenus des Israéliens ne font qu'accroître.

A la lumière de l'augmentation du niveau de vie en Israël et de la diminution des allocations familiales, la situation économique des familles ayant des enfants et dont les revenus sont peu élevés a empiré. En revanche, l'augmentation des allocations vieillesse accordées aux personnes âgées ayant des moyens limités, qui n'est d'ailleurs ressentie que de façon partielle en 2005, puisqu'elle est entrée en vigueur en novembre 2005, a permis de mieux conserver le niveau de vie des personnes âgées défavorisées et a même un peu diminué le nombres de pauvres parmi les personnes du troisième âge.

Le précédent rapport du Bitouah Léoumi, publié en janvier de cette année, faisait état de 1,58 millions de pauvres 24 % de la population, dont 738.000 enfants et adolescents. 403.000 familles vivaient en dessous du seuil de pauvreté, soit 20,5 %. Le Bitouah Léoumi avait recommandé entre autre d'annuler les restrictions prévues de 2007 à 2009 et l'attribution d'allocations égales à toutes les familles avec enfants. Malheureusement, après la guerre du Liban, les restrictions des budgets de l'Education et des Services sociaux ne permettront sûrement pas d'améliorer la situation.

Le docteur Yigal Ben-Shalom, directeur général du Bitouah Léoumi, a confié à des journalistes et à des économistes au cours d'une conférence de presse que les allocations reçues par les familles israéliennes avaient été réduites de 15 % depuis 2002 et les allocations familiales de 47 % depuis 2001.

"Si (le gouvernement) réinvestit 1 milliard de shekels par an pour les 10 ans à venir, je pense que cette tendance sera inversée. C'est une mission possible et essentielle pour l'économie israélienne," a précisé Ben-Shalom.


Commentant ces données, l'organisation caritative "Latet", (Donner), a affirmé que l'augmentation du nombre d'enfants vivant en dessous du seuil de pauvreté était due au "fait que le gouvernement n'avait pas de plan global pour lutter contre ce problème." L'organisation a ajouté qu'il "fallait fixer des objectifs mesurables pour réduire la pauvreté, le taux de chômage et les écarts sociaux."


Sources :
AROUTS 7

Posté par Adriana Evangelizt

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M
Il est temps que nos amis juifs comprenent qu'ils sont manipulé par le lobby sioniste au nom des Rothschilds et qu'ils leur servent seulement de chaire à canon !<br /> Il est temps qu'ils se désolidarise totalement de ce lobby sioniste qui en fait n'en a rien à foutre d'eux !
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