L'initiative de Chirac et de Zapatero rejtetée par Israël

Publié le par Adriana Evangelizt

Nous avions posé l'article de l'annonce d'initiative de paix préconisée par Jacques Chirac,  Zapatero et Romano Prodi ICI... et bien évidemment cela a été rejeté par Israël. Nous nous en doutions, bien sûr. Les Sionistes ne veulent pas la paix, nous le disons et le répétons. Nous n'avons d'ailleurs pas à leur demander leur avis, la Palestine ne leur appartient pas -pour ce qu'il en reste- et pusiqu'il s'agit de protéger un Peuple, il faut faire du forcing, s'imposer et ne pas demander leur avis à ces criminels. Ils n'ont rien à décider pour les gens de conscience et rien à interdire. Ce cinéma dure depuis trop longtemps. Mais qu'est-ce que c'est que ce régime ? Pourquoi se laisser impressionner par eux ? Qui sont-ils ? Qui est Olmert ? Un corrompu et un criminel de guerre. De quel droit ce type d'individus nous donne-t-il des ordres ? Allons-nous attendre que tous les Palestiniens soient assassinés pour agir enfin ? Allons-nous attendre qu'ils aient raflé toute la Palestine et tout Jérusalem ? La sale plaisanterie a assez duré. Il est grand temps que cela s'arrête parce que, de toute façon, il y aura la guerre à cause des dirigeants sionistes, sans foi ni loi, qui se foutent de la gueule du monde depuis plus d'un demi-siècle. Le vase déborde tout comme ce conflit qui pourrit tout le tissu sociétal de tous les pays du monde.

Initiative de Zapatero et Chirac au Proche-Orient,

 rejetée par Israël

Le président français Jacques Chirac et le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero, ont annoncé jeudi une initiative de paix pour le Proche-Orient au contour encore flou, mais qui a aussitôt été sèchement rejetée par Israel.


Jacques Chirac a profité du sommet franco-espagnol de Gérone (nord-est de l'Espagne) pour adouber l'Espagne comme l'un des quatre pays assurant »le bon fonctionnement de l'Europe», avec la France, l'Allemagne et l'Italie.

M. Chirac a annoncé avec M. Zapatero la préparation par Paris, Madrid et Rome d'une initiative de paix pour le Proche-Orient, concertée au téléphone avec le chef du gouvernement italien Romano Prodi, et qui doit être soumise à Berlin et Londres avant d'être présentée au Conseil européen de décembre.

M. Zapatero a précisé les axes de cette initiative: »cessation immédiate des violences» entre Israéliens et Palestiniens, échange de prisonniers, formation, d'un »gouvernement d'unité nationale» en Palestine, envoi d'une mission d'information, et »à terme», nouvelle conférence internationale de paix.

M. Zapatero n'a pas indiqué si cette initiative exigerait du Hamas la reconnaissance de l'Etat d'Israël.

Israël a immédiatement sèchement rejeté cette proposition, une »annonce précipitée», selon un haut responsable israélien. »M. Zapatero parle d'une cessation des violences. La belle idée. C'est exactement comme dire que pour arrêter la guerre, il faut faire la paix. C'est du niveau du café du commerce», a asséné ce responsable israélien sous couvert de l'anonymat.

L'Autorité palestinienne a en revanche réagi favorablement à l'idée d'une nouvelle conférence de paix sur la région.

M. Chirac a estimé que face à »la situation dramatique et de plus en plus dramatique (...) au Moyen-Orient et en Palestine en particulier», l'UE devait y »initier des réformes indispensables tant morales que politiques».

L'Espagne plaide déjà depuis plusieurs semaines en faveur de l'organisation d'une nouvelle conférence internationale de paix sur le Proche-Orient.

Washington avait initialement froidement réagi à l'offre espagnole. Mais la récente victoire des démocrates au Sénat et au Congrès américain, pourrait changer la donne estimait jeudi une source diplomatique.

Le président français a salué à Gérone l'excellence retrouvée des relations franco-espagnoles pour plaider le renforcement du »partenariat stratégique» entre les deux pays, dans l'intérêt de l'Union européenne.

»Il est évident depuis longtemps qu'une Europe, qui de plus s'élargit, ne peut fonctionner de façon efficace que si on renforce également les forces centripètes, et au coeur de ces forces centripètes de l'Europe, qui assurent le bon fonctionnement de l'Europe, il y a l'Allemagne, la France, l'Espagne, l'Italie», a-t-il déclaré en marge de ce sommet.

Sans citer la Grande-Bretagne, partenaire pourtant privilégié de la France, le président français a toutefois assuré qu'il »attachait le même prix à chacun des pays qui composent l'Europe».

Le renforcement des liens entre Paris et Madrid s'est illustré à Gérone par la réunion du premier conseil de sécurité de défense entre les deux pays, créé sur le modèle de son cousin franco-allemand.

La France et l'Espagne ont par ailleurs signé un accord reconnaissant l'équivalence des diplômes universitaires entre les deux pays et facilitant l'accès aux universités espagnoles de bacheliers français.

Paris et Madrid ont également décidé de demander à l'UE de nommer un expert chargé de prendre une décision sur la création d'une ligne à très haute tension (THT) entre les deux pays, qui suscite l'opposition dans les populations concernées et des écologistes.

Sources Tageblatt

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans LA FRANCE COMPLICE

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Il est important que malgré la mauvaise volonté sioniste évidente, cette nouvelle europe de l'Alliance des civilisations se démarque totalement et définitivement des thèses sionistes et néocons du choc guérrier des civilisations et impose sa voix sur la scène international concernant les conflits du proche et moyen orient !<br /> Il est temps que ces régions du monde cessent d'être considérée comme appartenant aux sionistes israéliens ou encore aux néocons américains !
Répondre