Solana choqué par la croissance des colonies
Pour Cukierman qui traite Amahdinejad d'Hitler... qui colonise ? Qui construit un mur d'apartheid ? Qui continue les exaxtions et qui se rit de la communauté internationale ? Le Haut-Sionistan. Où sont les frontières de la Palestine ? Celles d'Israël, nous le savons, s'agrandissent chaque jour. Un comportement qui étouffe le monde entier, créé haine et ressentiment. A la longue, cela ne sera plus jouable. C'est certain. Tant va l'eau à la cruche qu'elle se casse... dit-on.
Solana choqué par la croissance des colonies
et la construction du mur israélien à l'est de Jérusalem
GAZA.22 Janvier 2006. Le Haut représentant de l'UE pour la politique extérieure et de sécurité commune, Javier Solana a exhorté Israël, hier dimanche, à geler les activités coloniales juives en Cisjordanie. Il a également demandé à Israël d'interrompre la construction de sa barrière de sécurité, estimant que cela risquait de compromettre une paix israélo-arabe durable.
M. Solana a lancé ces déclarations au lendemain de sa visite des localités arabes situées à l'est de Jérusalem en Cisjordani en exprimant être '' choqué '' par l'expansion coloniale dedans et autour la ville de Jérusalem .
Il a dit y avoir ''été frappé par la croissance des colonies et la barrière qui empiète sur une zone revendiquée par les Palestiniens pour un futur Etat''.
"J'ai eu l'occasion de faire une tournée le long de la partie est de Jérusalem et d'aller à Abou Dis et dans ses environs. On est vraiment choqué de voir chaque fois la situation empirer, le mur est prolongé et les colonies sont agrandies", a déclaré Javier Solana à des journalistes à Amman.
Aux termes de la "feuille de route", un plan de paix international , Israël était censé mettre fin aux constructions de colonies en Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967.
"Toutes ces choses doivent d'abord être gelées, pour qu'ensuite on commence à voir comment les résoudre afin de relancer le processus", a dit Solana.
Il a exprimé l'espoir que "les réalités sur le terrain (...) n'empêchent pas une solution sous la forme de deux Etats". "Nous pensons qu'il existe une chance maintenant, une chance - qu'on ne devrait pas laisser passer - d'ouvrir un processus politique qui devrait s'achever par le règlement du conflit."
A l'issue d'entretiens à Amman avec le roi de Jordanie Abdallah II, il a estimé qu'il y avait actuellement "une opportunité" pour relancer le processus de paix israélo-palestinien et qu'il "ne fallait pas (la) laisser passer".
Sources IPC
Posté par Adriana Evangelizt