Olmert accuse Abbas d'avoir violé ses engagements

Publié le par Adriana Evangelizt

Olmert le Corrompu -avec un grand C- et marionnette inconsistante du Haut Sionistan accuse Abbas d'avoir violé ses engagements. Il a belle mine ! Les miroirs doivent être en bois chez lui. On reconnait là le juif qui a trahi le Judaïsme pour se prostituer au Sionisme. Il n'est pas le seul. Il y a plein de tristes sires comme lui de par le monde. La colère gronde chez les Juifs Justes, nous vous le disons... Croyez vous qu'en voyant la mauvaise foi et l'hypocrisie de cet énergumène, nous sommes fiers de notre ascendance ? Quel exemple nous vient de là-bas ? Aucun. Nous ne parlons pas ici bien entendu du Peuple Israélien qui comme tous les Peuples est obligé de subir ce qu'on lui impose. Ou de croire ce qu'on lui fait croire. Non. Nous parlons des gens inféodés à l'idéologie dangereuse du Sionisme et qui gouvernent un pays sans tenir compte du territoire de ses voisins. Nous parlons de voleurs de terre et de colonisateurs venus de l'Est et arrivant en pays conquis sur un territoire qui ne leur appartenait pas. Car le Sionisme vient de l'Est et plus particulièrement des Ashkénazes descendants des Khazars descendant eux-mêmes d'Attila, roi des Huns et barbare. Quelques siècles plus tard rien n'a changé. La barbarie est toujours à l'oeuvre. Ils ont décidé de s'accaparer de toute la Palestine et il est inutile d'espérer que la Palestine existera un jour tant que cette idéologie néfaste régnera sur le monde et l'enquiquinera, avons-nous envie d'ajouter. Ainsi il est normal que l'on vole la terre des Palestiniens pour y construire des colonies. Mais anormal que la Résistance -dont le Hamas est le seul représentant- se batte pour libérer sa terre. C'est ce que conteste Olmert, les Etats-Unis, la communauté internationale qui suit le vent et ne donne toujours pas son accord pour débloquer les fonds. Cette piteuse communauté internationale qui demande "un engagement «clair et crédible» du nouveau gouvernement" et l'enjoint de "respecter ses trois conditions à la levée du boycott: reconnaissance d'Israël, acceptation des accords passés et renoncement à la violence." L'etat Hébreu existe, on le sait. Que doit-on reconnaître ? Où sont les frontières ? Doit-on compter y inclure les terres volées aux Palestiniens ? Et Jérusalem-Est ? Où en est-on ? Qui viole les engagements et qui nous prend pour des cons ? Excusez l'impolitesse mais le vase déborde de tant d'arrogance, tant de mépris, tant de mauvaise foi. Comment les dirigeants européens peuvent-ils supporter cela ? Jusqu'à quand serons-nous les otages d'une politique viciée et vicieuse qui prend parti pour les criminels et méprise complètement les opprimés ? Jusqu'à quand ?

Olmert accuse Abbas d’avoir violé ses engagements


Le premier ministre israélien multiplie les attaques contre le président palestinien.

«Le chef de l'Autorité palestinienne a violé de façon flagrante une série d'engagements vis-à-vis d'Israël» Ehoud Olmert a tancé son homologue palestinien dimanche en conseil des ministres.

Il accuse notamment Mahmoud Abbas de ne pas avoir respecté sa promesse «de ne pas former un gouvernement d'union nationale avant la libération de Gilad Shalit», ce soldat israélien enlevé fin juin par des groupes armés palestiniens. «Il s'y est engagé à plusieurs reprises devant moi et devant des dirigeants dans le monde», le premier ministre israélien.

Cette critique qui intervient alors que Mahmoud Abbas doit rencontrer le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon et la secrétaire d’Etat américaine Condoleeza Rice, à Ramallah en Cisjordanie. Israël fait donc monter la pression. «La plateforme du gouvernement d'union, la légitimité conférée à la résistance armée, la violation des engagements du président, tout ceci ne va pas rendre les contacts aisés à l'avenir», prévient Ehoud Olmert.


Un engagement «clair et crédible»


Pour lui, «il ne fait pas de doute qu'un changement complet d'attitude de la part de l'Autorité palestinienne est nécessaire afin de créer une atmosphère propice qui permettra de mener des négociations fructueuses».

Il y a un mois, le premier ministre membre du parti islamiste Hamas, Ismail Hanyieh, parvenait à un accord avec le président palestinien, membre du parti laïc Fatah, Mahmoud Abbas. Cette entente avait permis la formation d’un gouvernement palestinien d’union nationale.

Ce nouveau cabinet devait permettre la levée du boycott financier qui frappait la Palestine du premier gouvernement Hanyieh. Mais la communauté internationale attend pour débloquer les fonds un engagement «clair et crédible» du nouveau gouvernement à respecter ses trois conditions à la levée du boycott: reconnaissance d'Israël, acceptation des accords passés et renoncement à la violence.

Sources Le Figaro

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Ehud Omert

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