Un responsable israélien relance la polémique sur un "trucage" de France 2

Publié le par Adriana Evangelizt

Vu le nombre d'innocents assassinés par les sionistes, nous pensons que Daniel Seaman ferait mieux de se taire. Consciemment ou inconsciemment, à partir du moment où l'on tue, on sacrifie à Moloch. Que Daniel Seaman relisent bien la Torah et il verra que les "ancêtres" sacrifiaient à Moloch notamment leurs premiers enfants comme tant d'autres peuplades. Un livre sera posé sous peu qui confirmera nos dires. Et nous passerons sous silence la haine des orthodoxes pour Ieschoua et les chrétiens. Si l'on ne veut pas qu'il y ait de fumée, il ne faut pas allumer de feu. Ce que ne savent pas faire ceux qui veulent donner des leçons aux autres. Pas de haine. Pas de crimes. Pas de racisme. Pas de supériorité. C'est sur ces critères-là que l'on bâtit un monde meilleur. En tenant compte des erreurs du passé.

Un responsable israélien relance la polémique

 sur un "trucage" de France 2


JERUSALEM - Le directeur du bureau de presse gouvernemental israélien a relancé mardi la polémique sur les images de la mort d'un enfant palestinien dans les bras de son père en l'an 2000 en reprenant à son compte des accusations de trucage à l'encontre de la chaine France 2.

Dans une réponse écrite à une organisation d'extrême-droite, Daniel Seaman a repris à son compte des accusations selon lesquelles la chaîne de télévision publique française aurait mis en scène la mort le 30 septembre 2000 de Mohammed Al-Dura, un enfant palestinien de 12 ans que son père tentait de protéger lors d'un échange de tirs entre soldats israéliens et Palestiniens dans la bande de Gaza.

"Je n'ai fait que reprendre ce que des journalistes et des experts ont dit dans le monde. Ils ont conclu que ce reportage a suscité de nouvelles accusations de meurtres rituels, selon lesquelles les soldats juifs tuent de sang froid des enfants étrangers", a affirmé à l'AFP Daniel Seaman.

"Je peux assurer qu'aucun soldat israélien ne commet ce genre de crime", a-t-il affirmé.

L'accusation de meurtre rituel est une calomnie antisémite datant du moyen-âge selon laquelle les Juifs se serviraient du sang d'enfants chrétiens pour préparer leurs matzot (pains azymes) pour la Pâque juive.

Dans sa lettre, il souligne qu'il ne dispose pas de moyens légaux pour retirer les cartes de presse à l'équipe de France 2 tout en accusant la chaîne d'un "manque de professionnalisme".

"Ces images ont été de l'avis de nombreux experts à l'origine de l'Intifada en l'an 2000, alors qu'aucune vérification sur leur crédibilité n'a été faite avant leur diffusion", a poursuivi le directeur du bureau de presse gouvernemental, qui dépend directement du bureau du Premier ministre et qui délivre notamment les cartes de presse aux journalistes étrangers.

Selon Daniel Seaman, tous les "éléments prouvent que Mohammed Al-Dura n'a pas pu être tué par des soldats israéliens, mais par des tireurs palestiniens qui se trouvaient à proximité".

Le porte-parole de l'armée israélienne a pour sa part demandé récemment à voir les rushs de près d'une demi-heure de ce reportage.

Un tribunal français a fait la même démarche à la demande d'un avocat qui avait été condamné en octobre 2006 à Paris pour avoir injustement accusé Charles Enderlin, journaliste de France 2, d'avoir truqué ce reportage.

Cet avocat avait été condamné à 1.000 euros d'amende et à verser un euro de dommages-intérêts à M. Enderlin et à France 2.

Charles Enderlin, a pour sa part démenti de nouveau catégoriquement tout trucage.

"Ce n'est pas la première fois que Daniel Seaman profère de telles accusations fausses qui interviennent aujourd'hui dans le cadre d'un procès qui se déroule à Paris à l'encontre d'une personne qui a été reconnue coupable de diffamation", a-t-il dit à l'AFP.

"Il n'y a eu aucune mise en scène et je me porte garant de l'honnêteté et de la crédibilité des équipes israéliennes et palestiniennes de France 2", a poursuivi le journaliste.

Le père de l'enfant, Jamal Al-Dura, a également rejeté les accusations de trucage.

"J'ai vu les balles venir de la position israélienne, aucun homme armé palestinien ne se trouvait là où j'étais", a-t-il dit à l'AFP à Gaza.

"Avec chaque anniversaire de l'Intifada, Israël se rappelle de ce crime commis contre mon enfant et essaye de l'effacer, mais il n'y parviendra pas", a-t-il ajouté.

Selon le quotidien Haaretz, le ministère israélien des Affaires étrangères a recommandé ces dernières années de ne pas relancer cette affaire dans la mesure où une telle initiative ne rehausserait pas l'image d'Israël à l'étranger.

En 2005, le bureau du Premier ministre de l'époque, Ariel Sharon, avait refusé de publier un communiqué déclinant toute responsabilité dans la mort du petit palestinien comme le suggérait Daniel Seaman.

Sources
Romandie

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Religion

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