Videos - Des extrémistes pro-israéliens envahissent les locaux des éditions Hachette

Publié le par Adriana Evangelizt

Dans la première video, voyez l'équipe de bras cassés de la LDJ en train de jouer les gros bras aux Editions Hachette pour qu'ils changent nos livres d'Histoire, en leur secouant devant le nez l'épouvantail de l'antisémitisme. Est-ce que c'est la LDJ qui paiera la facture ? Est-ce que la LDJ et toutes les organisations sionistes financent nos livres scolaires ? Il va falloir que Sarkozy soit clair là dessus. Nous lui avons écrit pour lui demander des éclaircissements. Nous voulons savoir depuis quand ce sont les sionistes qui financent l'Edition de nos livres ? Puisqu'ils se rendent chez les Editeurs pour demander des modifications à nos ouvrages, nous supposons donc que c'est aussi eux qui paient la facture. Et s'ils ne la paient pas, ils n'ont pas à fourrer leur nez dans nos livres d'histoire. C'est une chose entendue.

 

Dans la seconde video, toujours la même équipe de bras cassés qui collent des affiches de Gilad Shalit. Est-il Français ? Engagé ? Si oui, il devrait être en Afghanistan avec nos soldats. Mais nous apprenons que l'otage a pris la nationalité française au consulat de Jérusalem par la filiation de sa grand-mère, qu'il n'a jamais mis les pieds en France et qu'il est tout simplement militaire de l'armée israélienne ! Ainsi on peut devenir Français sans avoir mis les pieds en France. Ca alors ! Parle-t-il français au moins ? On peut en douter vu que son père ne le parle pas...

 

Il va falloir arrêter de nous prendre pour des imbéciles...

 

 

 

Des extrémistes pro-israéliens envahissent les locaux des éditions Hachette

 

Chantage à l’antisémitisme. Des membres de la Ligue de Défense Juive ont occupé une maison d’édition et exigé le retrait d’un exercice scolaire jugé anti-israélien

 

 

La scène est édifiante : un groupe de jeunes hommes munis de pancartes et d’un drapeau israélien investit le hall d’entrée du groupe Hachette Livre. Le but ? « Dénoncer  » ce qu’ils estiment être de la « désinformation et de l’antisionisme », en l’occurrence la photo issue d’un manuel scolaire de 4ème qui serait, selon eux, de nature à attiser « l’antisémitisme ». Accompagnant un exercice de rédaction, l’image illustre le passage d’une fille - éventuellement palestinienne - devant des militaires israéliens. Le collégien découvrant cette page est invité à rédiger une lettre « pour émouvoir le lecteur » à partir de ce que lui suggère cette photo.

 

Il s’agit là d’une nouvelle action coup de poing de la Ligue de Défense Juive , une association extrémiste interdite aux Etats-Unis et même en Israël. Prénommé Yoni, l’homme s’affichant auprès d’une responsable d’Hachette comme un « représentant de la communauté juive » fait connaître les exigences de son groupe : « On demande au directeur s’il pourrait faire un effort pour éventuellement enlever cet exercice et le remplacer ». Pour appuyer son propos, le militant prétend qu’il sera prochainement reçu « en personne » par le ministre de l’Education.

 

En novembre dernier, Oumma avait déjà relaté une autre manœuvre -plus violente- de la LDJ : l’intimidation exercée par ses membres à l’encontre de la direction du musée d’Art moderne de Paris lors d’une exposition photographique consacrée à Gaza. Aujourd’hui, ce type d’action hostile à un éditeur s’inscrit dans une campagne plus large, organisée notamment par le CRIF, pour tenter de faire censurer des extraits de manuels scolaires faisant nommément état, par exemple, de l’expulsion des Palestiniens en 1948.

 

Le retour des milices

 

A cet égard, la LDJ représente d’une certaine manière la frange jeune, activiste et décomplexée du CRIF. Fin juin, ses membres n’ont pas hésité à commettre un délit -la dégradation d’édifice public- en allant de nuit coller des affiches -en faveur de la libération du soldat Gilad Shalit - sur les mairies d’arrondissement de Paris.

 

 

A propos des éditions Hachette, l’administrateur du site de la LDJ menace sous couvert d’anonymat : « Si il n’y a pas de changement, nous reviendrons et cette fois-ci nous irons directement auprès de la personne qui s’est engagé à réexaminer l’exercice ». Activités associatives non reconnues par la préfecture, occupation illégale d’un lieu privé, dégradation d’un édifice public, menaces à peine voilées sur Internet et, au final, aucune mesure de rétorsion exercée par les autorités françaises, d’ordinaire plus répressives envers d’autres formes également radicales de communautarisme. Bienheureux les membres de la LDJ : pour ceux-là, l’impunité systématique est un luxe qui va de soi.

 

SOURCE : OUMMA.COM

Posté par Adriana Evangelizt

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