Corruption: accusations contre Olmert

L'étau se resserre autour d'Olmert. Tout se passe comme nous l'avions prévu ICI. Nous connaissons parfaitement le fonctionnement et la mentalité des Sioniques. Leur premier commandement étant qu'ils ne veulent pas de Palestine. Le but du jeu étant de prendre un maximum de terre et de ne rien rendre. Surtout pas le Golan, le chateau d'eau. La taupe sioniste Américaine qui a balancé de l'argent à Olmert, il y a quelques années, ne l'a pas fait pour rien. Ils aiment ça corrompre les gens au cas où... leurs corrompus parviendraient un jour à un poste important. Apparemment, il met le paquet pour l'enfoncer : "Il m'a dit qu'il préférait du liquide, et je lui ai donné d'abord de l'argent sur mes fonds privés, puis des sommes collectées aux Etats-Unis à son intention", a-t-il précisé. "En 1998 également, des sommes, à chaque fois en général de 3000 à 8000 dollars, ont été données, toujours en liquide, car Olmert ne voulait pas de chèques. Il a expliqué que ces fonds seraient ainsi plus faciles à répartir" et il ne se gêne pas pour en rajouter : "Je sais qu'il aimait la bonne vie, les hôtels de luxe, les cigares fins, les stylos coûteux et les montres, et je trouvais cela étrange" nous aussi on trouve étrange que la taupe balançait son pognon comme ça, gratis, c'est ce qu'il dit :  qu'il "n'attendait rien en échange". Sur un autre article on apprend qu'il lui aurait prêté 25 à 30 000 dollars pour un voyage en Italie. Pas besoin de torturer le corrupteur, il balance tout sans se faire prier. Le ciel s'annonce donc très sombre pour Olmert d'autant que ses propos d'hier ont dus restés coincés comme une arête pour quelques uns.  Un député religieux est allé jusqu'à lancer un appel à tuer contre Olmert déclarant «qu'aucun peuple au monde n'accepte de renoncer à son territoire. Je demande de remettre à l'ordre du jour le délit de traîtrise qui est passible de mort. Celui qui cèdera des parties souveraines d'Israël sera passible de mort ! » (voir l'article en bas) Le 11 mai, nous disions qu'Olmert allait finir comme Rabin s'il poursuivait dans cette voie, on ne s'est pas trompés. Ce qui règne en Israël est le contraire de la démocratie, quoique s'en targuent les sionistes. Des religieux extrêmistes dans un gouvernement sont le contraire d'une démocratie. On sait malheureusement comment ont fini tous ceux qui faisaient un pas vers la paix. C'est soit le déshonneur, soit la mort.



Corruption: accusations contre Olmert

S'il se vérifie, ce témoignage d'un homme d'affaires israélo-américain pourrait entraîner l'inculpation d'Ehoud Olmert, impliqué dans une affaire de corruption, et sa démission.

"J'ai donné des sommes en cash à Olmert pour ses campagnes de 1991 et 1992", a affirmé Morris Talansky, 75 ans, devant le tribunal de district de Jérusalem.

"Il m'a dit qu'il préférait du liquide, et je lui ai donné d'abord de l'argent sur mes fonds privés, puis des sommes collectées aux Etats-Unis à son intention", a-t-il précisé. "En 1998 également, des sommes, à chaque fois en général de 3000 à 8000 dollars, ont été données, toujours en liquide, car Olmert ne voulait pas de chèques. Il a expliqué que ces fonds seraient ainsi plus faciles à répartir", a-t-il poursuivi.

L'homme d'affaires, qui vit à New York, a affirmé qu'il "n'attendait rien en échange". Il a indiqué avoir connu l'actuel premier ministre durant la guerre du Golfe (1990-91). "Il était alors ministre de la Santé. C'était un prince du Likoud [parti de droite], un homme intelligent que j'admirais, que j'ai beaucoup aimé et qui, de mon point  de vue, devait être aidé", a dit Morris Talansky.

Il n'a pas été en mesure de spécifier comment les fonds attribués, soit quelque 100.000 dollars en 15 ans, ont été utilisés, laissant entendre qu'une partie de ces sommes avaient été utilisées à des fins privées. "Je sais qu'il aimait la bonne vie, les hôtels de luxe, les cigares fins, les stylos coûteux et les montres, et je trouvais cela étrange", a-t-il précisé.

Ehoud Olmert est soupçonné d'avoir reçu de Morris Talansky des "sommes importantes"  et "non autorisées", notamment lorsqu'il était maire de Jérusalem (1993 à 2003), puis ministre du Commerce et de l'Industrie jusqu'en 2006. L'homme d'affaires a indiqué avoir transmis ces sommes aussi bien en Israël qu'à l'étranger en liquide dans des enveloppes par l'intermédiaire de Shoula Zaken, l'ancienne directrice de cabinet du premier ministre.

Ce dernier a publiquement reconnu avoir reçu des contributions destinées à financer ses campagnes électorales pour la mairie de Jérusalem et les primaires du Likoud. Mais a affirmé sa probité et s'est engagé à démissionner si  la justice décidait de l'inculper. Il a déjà été interrogé deux fois à propos de cette affaire. Il a aussi fait l'objet  de trois autres enquêtes de police sur des transactions immobilières douteuses et des nominations politiques abusives à l'époque où il gérait le portefeuille du Commerce et de l'Industrie.

Sources : France 3



Les propos déplacés de Arié Eldad

Par Nina Levy Strauss pour Guysen International News

Les propos prononcés par le député national-religieux Arié Eldad lors du débat du lobby parlementaire en faveur du Golan, a soulevé de vives protestations. Ce dernier a en effet affirmé «qu'aucun peuple au monde n'accepte de renoncer à son territoire. Je demande de remettre à l'ordre du jour le délit de traîtrise qui est passible de mort. Celui qui cèdera des parties souveraines d'Israël sera passible de mort ! » Le lobby s'était réuni lundi après-midi (26 mai ) à la Knesset afin de débattre des négociations entre la Syrie et Israël.

Suite à cette déclaration, les réactions ne se sont pas fait attendre.

« Il n'y a pas de place dans l'espace public pour de telles remarques qui n'auraient même pas dû être prononcées »a indiqué le ministre de la Défense, Ehoud Barak, dans un communiqué de presse émis par son ministère.

« Au delà des positions politiques, nul en Israël n'a le droit de souiller le débat public avec de tels propos, qui sont des incitations à la violence, en contradiction avec les valeurs fondamentales de l'Etat, la morale juive et la loi » a déclaré le président de l'Etat, Shimon Pérès.

Zevouloun Orlev, député issu du même parti que Arié Eldad, a également réagit en adressant une lettre à son collègue et ami :

« J'ai entendu avec stupeur ton appel à condamner à mort celui qui rendrait des territoires. Nous ne nous sommes pas encore rétabli, comme société et comme Etat, de l'assassinat du Premier ministre Itzhak Rabin z''l (...) et tes propos donnent une légitimité à un nouvel assassinat politique d'un Premier ministre ».

Face à ce tollé de protestation, Arié Eldad a affirmé n'avoir fait « que citer la loi israélienne », une allusion à un article du code pénal de 1977 punissant trés sevèrement celui qui offrirait un territoire souverain à une autre nation.

Un argument trop faible pour convaincre les députés qui ont demandé qu'Arié Eldad soit poursuivi pour incitation à la violence et au meurtre.

Parmi eux, le député Ran Cohen du parti Meretz qui voit dans les déclarations prononcées par Eldad « une réminiscence des journées qui ont précédées le meurtre d'Itzhak Rabin z''l. »

Au Likoud, et alors que Binyamin Netanyaou s'est fermement engagé contre un éventuel retrait du Golan, ce dernier a cependant pris ses distances en déclarant que les « commentaires de Eldad sont inappropriés et inacceptables ».

Sources Guysen news


Posté par Adriana Evangelizt