Divergences persistantes sur la conférence sur le Proche-Orient

Publié le par Adriana Evangelizt

Pitoyable Olmert, il ne sait plus quoi inventer pour gagner du temps, l'arme favorite des sionistes. Il le dit lui même. Il préfère une déclaration commune plutôt qu'un accord en bonne et due forme. Et oui... une déclaration se ramène à des mots qui ne sont jamais suivi d'effets... et parler pour mentir, ils savent le faire. Malheureusement, il y a de moins en moins de gens dupes de la manoeuvre. Le Sionisme se trouve dans la voie ascendante jusqu'à l'extinction complète qui viendra un jour. Alors en attendant, il y aura encore des guerres et des attentats... le chaos, c'est leur domaine.

Divergences persistantes sur la conférence

 sur le Proche-Orient

JERUSALEM (Reuters) - Le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, a minimisé dimanche les espoirs suscités par la conférence sur le Proche-Orient qui doit se tenir aux Etats-Unis aux alentours du 15 novembre, souhaitant qu'elle s'achève par une déclaration commune plutôt que par un accord en bonne et due forme.

"Nous parlons entre nous d'une déclaration commune que - nous l'espérons - nous serons en mesure de formuler", a-t-il déclaré en conseil des ministres évoquant ses discussions avec Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne.

"Il y a une différence entre un accord de principe et une déclaration, qui reflète des positions", a poursuivi le chef du gouvernement, dont les propos, rapportés par un membre de son administration, illustrent la persistance des divergences.

Condoleezza Rice, attendue cette semaine dans la région, aura fort à faire pour les combler, à deux mois de cette conférence voulue par les Etats-Unis.

Abbas, lui, souhaite que l'événement donne lieu à un "accord cadre", assorti d'un calendrier, portant sur les points essentiels du conflit, tels que la question des frontières du futur Etat palestinien, le statut de Jérusalem et le retour des réfugiés palestiniens.

Pour Saëb Erekat, proche collaborateur d'Abbas, l'intitulé du document importe peu. "Je me fiche du nom qu'on lui donne. Je m'attache à la substance. Le plus important est que nous spécifiions de façon précise comment résoudre tous les questions fondamentales", a-t-il souligné.

Lorsque le président George Bush a souhaité la tenue de cette conférence, les collaborateurs d'Olmert ont d'abord envisagé un accord de principe. Or, la nouvelle approche du Premier ministre pourrait même éloigner la perspective d'une déclaration commune, dit-on dans son entourage.

Les diplomates américains auront d'autant plus de mal à convaincre les pays arabes influents d'y participer. L'Arabie saoudite a d'ores et déjà fait savoir qu'elle n'y prendrait part que dans la perspective de progrès sur le "statut final" du futur Etat palestinien.

Sources
Yahoo fr

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Ehud Omert

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