Abbas annonce une réunion internationale en novembre
Pauvre Mahmoud Abbas ! Il a dû beaucoup parler mais pas avoir beaucoup de réponses pour ne pas dire aucune. A notre avis, il n'y aura pas de conférence internationale en novembre à Washington. Une guerre se prépare. Les sionisto-warriors sont sur le pied de guerre. Déjà, les ricains sont très évasifs sur la date, ce qui ne présage rien de bon. D'autre part, Rice a du sourire comme à son habitude, écouter, en dire beaucoup plus à Olmert sur les prochains actes à commettre. Abbas a mis sur le tapis les questions du statut final, à savoir les frontières, Jérusalem, les réfugiés, la colonisation et l'eau... et comme les sionistes ne veulent rien entendre sur ces points cruciaux, rien ne va bouger. La conférence, ce n'est même pas la peine de la faire. La seule chose que doit attendre Abbas, c'est de voir Olmert sourire comme un gros niais qu'il est en prenant la pose devant les photographes... admirez... il pose en se foutant de la gueule du monde, comme d'habitude...
Abbas annonce une réunion internationale en novembre
"Le temps est venu de créer l'Etat palestinien indépendant, avec Jérusalem comme capitale, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël", déclare le président palestinien Mahmoud Abbas, après un entretien avec Condoleezza Rice.
Après un entretien avec Condoleezza Rice à Ramallah, le président palestinien, Mahmoud Abbas, a annoncé, jeudi 20 septembre, que la réunion internationale sur le Proche-Orient voulue par Washington devrait se tenir mi-novembre.
"J'ai discuté avec Mme Rice de plusieurs questions, en tête desquelles les processus de paix et la bonne préparation nécessaire pour assurer la réussite de la réunion internationale qui devrait se tenir à la mi-novembre", a déclaré Mahmoud Abbas.
Les Etats-Unis n'ont pas annoncé de date pour cette conférence, mais ils ont évoqué le mois de novembre. Ils sont restés jusqu'ici très discrets sur les pays qu'ils comptaient inviter.
Selon le président palestinien, cette réunion doit "donner le coup d'envoi à de sérieuses négociations aboutissant à la fin de l'occupation israélienne de notre terre et des terres arabes qui a commencé en 1967, conformément aux lois internationales, à la Feuille de route, à la vision du président Bush, à l'inititaive arabe et aux accords signés".
"Nous sommes sérieux"
"Nous avons fait savoir à Mme Rice que nous étions sérieux dans notre quête pour parvenir à un accord cadre (avec Israël) sur les questions du statut final, à savoir les frontières, Jérusalem, les réfugiés, la colonisation et l'eau", a-t-il ajouté.
Il a affirmé qu'il tentait de parvenir avec le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, à un "accord comportant un calendrier d'application sur les questions du statut final".
"Le temps est venu de créer l'Etat palestinien indépendant, avec Jérusalem comme capitale, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël, pour qu'il soit mis fin aux souffrances endurées par notre peuple depuis six décennies", a encore dit Mahmoud Abbas.
Un accord avec Israël avant la réunion
Il a indiqué avoir communiqué à Condoleezza Rice la "composition de la délégation palestinienne" chargée de négocier avec Israël un accord avant la réunion internationale.
Selon des sources officielles palestiniennes, cette délégation est présidée par l'ancien Premier ministre Ahmad Qoreï (Abou Alaa) et comprend Yasser Abed Rabbo, membre du Comité exécutif de l'OLP et Saëb Erakat, chef du département des négociations à l'OLP.
Mahmoud Abbas a condamné une nouvelle fois la décision israélienne de considérer la bande de Gaza comme "une entité hostile". "Cette désignation a une grave signification politique", a-t-il dit.
"Toutes ces mesures sapent les efforts déployés par notre gouvernement pour imposer la sécurité et l'ordre dans les différentes villes palestiniennes", a-t-il conclu.
"J'ai discuté avec Mme Rice de plusieurs questions, en tête desquelles les processus de paix et la bonne préparation nécessaire pour assurer la réussite de la réunion internationale qui devrait se tenir à la mi-novembre", a déclaré Mahmoud Abbas.
Les Etats-Unis n'ont pas annoncé de date pour cette conférence, mais ils ont évoqué le mois de novembre. Ils sont restés jusqu'ici très discrets sur les pays qu'ils comptaient inviter.
Selon le président palestinien, cette réunion doit "donner le coup d'envoi à de sérieuses négociations aboutissant à la fin de l'occupation israélienne de notre terre et des terres arabes qui a commencé en 1967, conformément aux lois internationales, à la Feuille de route, à la vision du président Bush, à l'inititaive arabe et aux accords signés".
"Nous sommes sérieux"
"Nous avons fait savoir à Mme Rice que nous étions sérieux dans notre quête pour parvenir à un accord cadre (avec Israël) sur les questions du statut final, à savoir les frontières, Jérusalem, les réfugiés, la colonisation et l'eau", a-t-il ajouté.
Il a affirmé qu'il tentait de parvenir avec le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, à un "accord comportant un calendrier d'application sur les questions du statut final".
"Le temps est venu de créer l'Etat palestinien indépendant, avec Jérusalem comme capitale, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël, pour qu'il soit mis fin aux souffrances endurées par notre peuple depuis six décennies", a encore dit Mahmoud Abbas.
Un accord avec Israël avant la réunion
Il a indiqué avoir communiqué à Condoleezza Rice la "composition de la délégation palestinienne" chargée de négocier avec Israël un accord avant la réunion internationale.
Selon des sources officielles palestiniennes, cette délégation est présidée par l'ancien Premier ministre Ahmad Qoreï (Abou Alaa) et comprend Yasser Abed Rabbo, membre du Comité exécutif de l'OLP et Saëb Erakat, chef du département des négociations à l'OLP.
Mahmoud Abbas a condamné une nouvelle fois la décision israélienne de considérer la bande de Gaza comme "une entité hostile". "Cette désignation a une grave signification politique", a-t-il dit.
"Toutes ces mesures sapent les efforts déployés par notre gouvernement pour imposer la sécurité et l'ordre dans les différentes villes palestiniennes", a-t-il conclu.
Sources Nouvel Observateur
Posté par Adriana Evangelizt