DANGER ! ARMES BIOLOGIQUES CONTRE PALESTINIENS A L'ETUDE...

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Balles génétiques: Armes biologiques spécifiquement ethniques


Une des découvertes les plus intéressantes du Projet sur le Génome Humain est que tous les êtres humains sont intimement reliés et que le concept de race est un mythe, en réalité. Les différences existant chez les êtres humains, sur une base individuelle, sont, en effet, plus grandes que les différences entre groupes d’être humains. Une grande partie de ces découvertes précoces sont compilées dans un recueil de 1 000 pages publié par la Presse de l’Université de Princeton, sous le titre de L’Histoire et la Géographie du Gène humain. Des chercheurs de Stanford, par exemple, en sont venus à la conclusion que l’ADN des Européens se composait approximativement de types asiatiques à 65 % et de types africains à 35 %, faisant de la soi-disant race blanche un genre hybride de deux types d’ADN plus anciens.

Chose inquiétante, le Projet sur le Génome Humain est actuellement conduit sous les auspices du Département de l’Énergie qui surveille également l’arsenal américain des armes nucléaires. Bien que la similitude de l’ADN de tous les êtres humains semble plaider en défaveur de la faisabilité " d’armes génétiques ", des scientistes britanniques et d’ailleurs n’en sont pas si sûrs. En 1997, le Dr. Wayne Nathanson, chef du Département des Sciences et d’Éthiques de la Société médicale du Royaume-Uni, a lancé l’avertissement suivant, lors de la réunion annuelle de la Société, que la " thérapie génétique " pourrait bien se transformer en " armes génétiques " que l’on pourrait, selon toute possibilité, utiliser pour cibler certains groupes de gènes que possèdent certains groupes de gens.

Nathanson mit en garde contre le fait que de telles armes pourraient être lâchées contre des êtres humains, non seulement sous les formes anticipées comme le gaz ou en aérosol, mais aussi être introduites dans les approvisionnements d’eau. Reculant, cependant, devant la suggestion que de telles armes puissent être capables d’éliminer la majorité de la population mondiale, il évoqua néanmoins l’idée qu’elles puissent être employées, non seulement pour infliger la mort, mais également causer la stérilité et l’infirmité chez les nouveau-nés des groupes ciblés. Le résultat est aussi certain qu’un génocide, mais par le moyen d’une attaque plus lente, plus insidieuse et, de ce fait, potentiellement indécelable. L’estimation actuelle des coûts de développement d’une "arme génétique " est évaluée à environ 50 M $, soit encore une bonne somme pour des bandes isolées de Néo-nazis, mais bien à l’intérieur des capacités des programmes clandestins gouvernementaux.

On a su, par exemple, que l’ancienne Union Soviétique avait développé une arme génétique employée dans la transplantation de microbes qui causèrent la " fièvre liegu " dans les germes de la levures de vin ordinaire, ce qui aurait permis, selon la prédiction des Soviétiques, à la levure de répandre un fléau " génocide " de fièvre liegu. À une autre occasion, les Soviétiques tentèrent de combiner des gènes de venin de cobra avec le virus de l’influenza, ce qui aurait fait une combinaison pour le moins mortelle. Il n’est pas clair, cependant, à savoir si les Soviétiques (dont la gamme d’ennemis potentiels s’étendait des Allemands et Lettons aux Chinois et Pakistanais) avaient l’intention de cibler un groupe quelconque en particulier. Ce qui était clair, c’est la possibilité de l’arme. On estima que 20 grammes seulement de virus de la fièvre liegu pouvait potentiellement tuer plus de 5 milliards de gens…

Selon un récit rapporté dans le Sunday London Times, du 15 novembre 1998, curieusement passé presque sous silence dans les médias américains, si ce n’est une brève mention dans le Wired et le Village Voice, le gouvernement d’Israël aurait peut-être déjà développé avec succès des " balles ethniques " spécifiquement génétiques sous forme d’armes biologiques, avec les Arabes comme cibles. Le compte-rendu, provenant des Rapports à l’Étranger de Londres, citant un " rapport non officiel " qui arrivait d’Afrique du Sud, annonçait que la recherche découlait, à l’origine, d’un effort conjoint d’Israël et de l’Afrique du Sud, et que les armes d’Afrique du Sud auraient visé les Noirs.

Rappelons-nous que l’Afrique du Sud est devenue récemment la première nation du monde à renoncer à son arsenal d’armement nucléaire qui, lui aussi à l’origine, était le résultat d’une entreprise à risques partagée avec Israël. Lorsqu’on demanda à un porte-parole du gouvernement israélien de confirmer l’existence de la balle ethnique, il se montra évasif, sans nier son existence. " Nous avons, " dit-il aux Rapports à l’Étranger, " un panier plein de surprises stratégiques que nous n’hésiterons pas à utiliser si nous croyons que l’État d’Israël est sérieusement menacé. "

Israël n’est sans doute pas le seul à travailler au développement de cette sorte d’armes biologiques. Michael Risconscuito, principal informateur du reporter d’enquête Danny Casaloro (Casaloro est décédé mystérieusement, il y a environ 10 ans, alors qu’il enquêtait sur le prétendu vol au Département de la Justice d’un logiciel d’information appelé PROMIS), allégua à la Radio Pacifica qu’il avait aussi participé à un effort d’information secrète pour développer des armes biologiques spécifiquement génétiques qui pouvaient potentiellement réduire la population du globe des deux tiers au moins. Après la mort de Casalaro, Risconscuito rendit la chose publique et, fait étrange, fut presque immédiatement arrêté pour possession de drogue. Il est encore en prison.

Des hommes de science ont réclamé " définitivement un ordre exécutoire pour bannir les armes génétiques ", un premier pas important vers le contrôle de ce qui est peut-être l’arme ultime. Il est certain qu’un consensus international sur la question est de loin préférable au fait de continuer à ignorer l’affaire jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Contrairement à ce qui a trait aux armes biologiques spécifiquement génétiques, la faisabilité absolue d’un tel interdit est suspecte. En vérité, si les experts ont raison et que les armes biologiques spécifiquement génétiques peuvent être réalisées pour à peine 50 M $, cela les met à la portée de terroristes fortunés comme Ousama bin Laden qui a déjà exprimé son désir d’exterminer au moins deux groupes : les Israéliens et les Américains.

Il faut presque s’attendre à ce que l’existence rapportée de la balle ethnique israélienne déclenche une course à l’armement génétique au Moyen Orient. Pire encore, la recherche et le développement de telles armes peuvent être transportées dans des aménagements étonnamment petits qu’il est presque impossible de surveiller. Ce qu’il y a de plus inquiétant, peut-être, c’est que la " science " des armes biologiques spécifiquement génétiques en est encore à ses débuts et nul ne sait si des percées ne réduiront pas les coûts de production au point où de petits groupes extrêmement malveillants, comme les Néo-nazis, n’essayeront pas de provoquer une nouvelle Solution Finale…!


Note:

Traduit par Roch Richer d’un article de R. Roy Blake, collaborateur à la Presse Libre, speakeasy.org

http://www.rense.com/general18/spbio.htm

Sources : PLEINS FEUX

Posté par Adriana Evangelizt

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