Livni annule une visite au Qatar

Publié le par Adriana Evangelizt

Tzipi Livni annule une visite au Qatar en raison de la présence d'une délégation du Hamas... on voit là l'intelligence des sionistes qui préfèrent construire des murs plutôt que des ponts.... ils exigent la reconnaissance d'Israël, renoncement au terrorisme et reconnaissance des accords signés. La reconnaissance. Toujours la Reconnaissance. Il faut les reconnaîte mais eux ne reconnaissent personne, mieux, ils s'imposent partout. La reconnaissance de l'Etat d'Israël impliquerait de facto la mort de la Palestine. Lire "Le droit au secours de la Palestine"... Les droits des Peuples Palestiniens ont été bafoués depuis le départ. Il aurait fallu leur accord pour la création d'Israël. Faute d'accord, les Sionistes se sont imposés par la force. Et ils prennent toujours davantage. Même Jérusalem doit leur appartenir en entier. Quant au terrorisme dont ils ont plein la bouche, dans l'immédiat, force nous est de constater que depuis plus d'un demi-siècle, c'est eux qui assassinent. L'imposture du Sionisme a fait long feu et il est grand temps que les Israéliens ouvrent les yeux, enfin... s'ils veulent vraiment la paix... parce qu'au train où vont les choses, l'avenir s'annonce catastrophique...

Tzipi Livni annule une visite au Qatar en raison

de la présence d'une délégation du Hamas

La ministre israéliennes des Affaires étrangères Tzipi Livni a décidé de ne pas se rendre à une conférence des Nations unies au Qatar en raison de la présence d'une délégation du Hamas pour représenter l'Autorité palestinienne, a indiqué dimanche son porte-parole.


"La politique d'Israël est que tant que le Hamas n'aura pas accepté les trois repères de Kofi Annan (secrétaire général de l'ONU, NDLR) -reconnaissance d'Israël, renoncement au terrorisme et reconnaissance des accords signés- il n'y aura aucune légitimité donnée au Hamas", a déclaré le porte-parole Mark Regev.


La visite de Tzipi Livni devait être la première d'un responsable israélien de haut niveau au Qatar depuis la venue de Shimon Peres, alors Premier ministre, en 1996. Ce voyage avait ouvert la voie à l'établissement de premières relations diplomatiques entre les deux pays.

Sources : Nouvel Observateur

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